ÉRIC ZEMMOUR L’ACCUSÉ ACCUSATEUR

DESCENTE AUX FLAMBEAUX
DESCENTE AUX FLAMBEAUX

Une fois de plus Éric Zemmour est accusé. De quoi ? Peu importe, puisqu’il faut l’accuser. Une fois de plus, dix fois de plus. Les juges sont là pour ça, qu’ils soient orientés à gauche ou désorientés professionnels, ânonnant mécaniquement des lois que nous aurait enviées la grande URSS des meilleurs temps. Et si en plus, des groupes de pression très orientés hurlent à la mort, c’est en toute sérénité (?) que la femme auto-aveuglée qui est censée représenter la justice s’obstine à secouer ses plateaux rouillés. Telle est l’ambiance, que ne contredisent en rien les cas où il fut relaxé.

Car la question n’est pas là. Éric Zemmour expose des faits réels, et les traite par induction-déduction au crible de l’histoire de France qu’il vénère. Alors se déchaînent les phrases qui le qualifient dans tant et plus d’articles, renversent la situation et l’accusent de « faire polémique » (et autres joyeusetés du même tonneau).

Ne parlez plus de gastronomie française, c’est rejeter la cuisine de l’Autre. Parlez plutôt de la pluie et du beau temps. Oui mais, avec modération.

Ne dites pas que le soleil brille, c’est mépriser les malheureux qui manquent d’eau ! Ne dites pas qu’il pleut, c’est insulter les pauvres inondés du Bangladesh ! Ne dites pas qu’il fait du brouillard, c’est se moquer des pauvres aveugles (pardon ! des mal-voyants), etc.

Autrement dit, il faut tout accepter de la doxa de gauche et « fermer son clapet ». Mais cela ne suffira pas. Une fois ce service minimum accompli, le silence finit par devenir suspect. L’histoire a déjà connu cela. Applaudissez, camarades, applaudissez, applaudissez encore, applaudissez toujours ! Le premier qui s’arrête est suspect et pointé comme tel. Le grand Soljenitsyne l’a déjà montré. Traité par Chaplin, ce serait hilarant. Mais par Staline…

La structure porte peut-être le faux nez de République, mais dessous pointe la face mortelle de la dictature. Staline est en son mausolée, mais ses copies conformes grouillent. Vous en trouverez les pseudonymes dans les médias de la bonne conscience. C’est en cela que les faits mis en lumière par Éric Zemmour sont, par eux-mêmes, vivants et accusateurs. Mais ils brûlent qui en transmet la torche.

Ma seule conclusion est qu’il faut transmettre la flamme… ou périr d’un froid mortel.

Je précise que je suis en désaccord avec Éric Zemmour sur certains points, dont un fondamental. Mais si nous devions en discuter, cela se ferait tranquillement, si possible autour d’un bon café, et se terminerait par une honnête poignée de mains. Cet homme mérite d’être respecté et suivi.

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