Aujourd’hui 30 novembre 2021 Éric Zemmour a annoncé officiellement sa volonté de se présenter à l’élection de 2022. Pour être franc, c’était en cours. J’aurais pu penser qu’il aurait attendu le 5 décembre au Zénith, quitte à doubler l’annonce sur place par une retransmission sur réseaux sociaux telle que celle de ce jour. Mais n’étant pas dans le secret des dieux…
Il est probable que la chute — réelle ou largement orchestrée — de quelques sondages ait accéléré le processus. Mais peu importe, car l’essentiel est devant nous.
Que dire de cette déclaration ? J’aurais préféré qu’elle fût moins lue et plus directe, si l’on peut dire. Mais chaque mot ayant été pesé, chaque phrase mesurée, et l’ensemble devant coller aux images, les contraintes techniques ont dû imposer cette solution. D’autant que le candidat officiel n’est pas un inconnu, que rares doivent être les Français à ignorer sa tête. De plus, nous n’attendons pas d’Éric Zemmour un concours de sourires mielleux ou autres postures habituelles des vieux clowns du cirque politique dont nous souhaitons le départ.
La situation de la France a été bien décrite, ce qui explique les hurlements des meutes à l’affût. Elles hurlent parce qu’elles sont déjà blessées. Tant mieux !
Mon approche personnelle, depuis bien avant Zemmour, est qu’un président doit travailler à son bureau, et ne s’investir au-dehors qu’en cas de nécessité absolue.
Poussant le raisonnement, seul le résultat compte. Je voterais sans crainte pour un homme efficace prenant à bras-le-corps le sort de la France, et certainement pas pour un ludion agité soucieux de pavaner devant la basse-cour. Pas plus que pour une “ludione” (pour faire plaisir aux dames en course).
Voilà donc la première étape franchie. Restent les autres. Ce ne sera pas facile. Non parce qu’il existe d’autres candidats (c’est normal), mais parce que la France de gauche (oxymore) prépare sa guerre civile.
“Dans un premier temps, l’essayiste devra gérer la date du 5 décembre : la CGT de Paris, Solidaires et le collectif antifasciste la Jeune Garde appellent à s’opposer à son meeting au Zénith*.”
D’ailleurs la course aux mensonges, déclarations alambiquées et autres gracieusetés a déjà commencé. Leur déballage qui montre la déchéance psychique de leurs auteurs n’est en rien une nouveauté. Et c’est bien là que se situe le problème fondamental de la France. Non pas en une opposition sur des tactiques pour résoudre une situation dramatique, mais une course à qui précipitera le pays au plus bas, à la disparition, si possible.
Bref, la Gauche, soit déjà catégorisée ainsi, soit masquée derrière des postures vermoulues : vieux prébendiers habitués des pires râteliers, “idiots utiles” à répétition, béats atteints d’un syndrome de Stockholm généralisé, et autres casseurs de profession. Bref, la Gauche toujours destructrice, parce que c’est dans sa nature profonde. Le monde entier l’a vu, et aucun tribunal d’on ne sait où n’est à l’ordre du jour. Nuremberg lui irait très bien.
À défaut, contentons-nous de bien voter.
VoteZ ! Si vous voyeZ ce que je veux dire.
Antoine Solmer
* https://www.lexpress.fr/actualite/politique/autonomes-antiracistes-qui-sont-ces-antifas-qui-veulent-pourrir-la-campagne-de-zemmour_2163369.html