QUI CONDUIT LE CAMION ET QUI VEUT LE SABOTER ?

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Dans mon dernier article nous en étions restés à la présentation de deux protagonistes : le conducteur du véhicule et l’auto-stoppeur. Je m’étais permis d’étayer la discussion par mes souvenirs personnels, que j’ai aussi échangés, sur la route, avec des amis de rencontre qui suivaient leurs propres chemins de découverte. Passons !

Chacun aura compris que mon conducteur du jour avait un gros camion. Mieux, que c’était un camion poubelle où la place était libre pour les vrais rebuts de société, les « Harristes » et autres « Bidenopathes », à savoir les amoureux de la nullité et du court-circuit neuronal. Ce dernier avait cru bon de jeter ses pelletés d’insanités sur les électeurs de l’autre bord. Bien heureusement, « l’autre bord », celui du « garbage » a renvoyé au coin les deux bonnets d’âne de la classe politique américaine. Et tant mieux pour le reste du monde.

Revenons sur ce fameux camion à ordures conduit par le plus célèbre serviteur de « Mc Do » du monde. Des Français se sont pris à trouver la comédie outrancière. Décidément, quand ces ralentis des neurones comprendront que la France n’est pas obligatoirement l’exemple parfait à fournir à l’univers, quand les mêmes commenceront à explorer autre chose que leurs nombrils, et quand ils chausseront de gros godillots pour mieux éjecter le foutriquet élyséen qui les mène à la catastrophe, alors les choses iront peut-être ( ? ) un peu mieux dans cet hexagone qui n’a plus rien d’exact et qui branle de tout côté.

Car, s’en tenir à des appréciations prétendument intelligentes sur les comédies de Trump, c’est ne rien comprendre au peuple américain. Bien sûr, Trump ne parle ni n’écrit comme BHL, ou comme Foutriquet et sa foutriquèterie de ministres sortis des fonds de tiroirs à nullités. Mais au moins, il a un programme qui nous offre un peu d’air pur. Ici, nous en avons foutriquètement besoin, et la solution passe par le dégagement du personnage, de ses délires et de ses relents pathologiques. Vouloir à tout prix – celui que payent les citoyens par leurs impôts et leurs baisses de rentrées financières – une guerre pour satisfaire son ego, c’est au bas mot un raison pour l’asile ou pour la haute cour. Eh oui ! Nous en sommes là.

Et ces journaux de France gauchistes à 80% n’ont pas cru élever la voix contre celle de Biden vouant des citoyens qui avaient le malheur de déplaire à sa Majesté le pseudo « défenseur de la démocratie ». Pire, ils ont poursuivi Trump de leurs insultes favorites, tout droit sorties du vocabulaire stalinien rajeuni à la sauce wokiste. Quel bel exemple de journalistes ! Mais aussi, quel bel exemple de lecteurs plus que passifs !

Personnellement, je monte comme auto-stoppeur dans le camion de Trump. Pourquoi ? Parce que je pense que nous arriverons à destination aussi tranquillement et sûrement que possible. Est-ce une garantie totale ? Non ! Mais s’il est une certitude en ce monde, c’est bien que la certitude n’est qu’un leurre. Par contre, un chemin menant à la paix plutôt qu’à la Troisième Guerre Mondiale reste la meilleure solution possible. Le seul conducteur qui en soit conscient, et qui ait assez de moyens pour nous protéger du cauchemar, c’est Trump.

Ce ne sera pas facile. La Gauche, les dingues de tout acabit, les foutriquets de tout grade et les imbéciles mettront des bâtons dans les roues. Il va falloir souhaiter que le conducteur Trump adapte un chasse-imbéciles sur son pare-choc. Et même deux, un à l’avant, et l’autre à l’arrière… sans oublier le blindage autour. Sa survie et la nôtre sont liées.

Antoine Solmer

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