Article court mais à longue portée : le fameux “vaccin” n’a pas été le remède miracle qui fut vendu, rendu obligatoire par la plus fumeuse intoxication que ni Hitler ni Staline ni tous les autres dictateurs de la planète ne furent jamais capables de mettre en route. Ils en rêvaient, nos “bons dirigeants” l’ont fait.
Peu à peu, mais un peu tard, certaines langues se délient. Honnêteté ou crainte devant les nouvelles menaces ? Peu importe. Je crains que nous ne soyons obligés de revenir sur le plus grand mensonge depuis que l’homme est apparu sur Terre. Parfois les hommes sont traités comme de la chair à canon. Seront-ils traités maintenant comme de la chair à poison ?
Mais la question de fond demeure. Il ne faut pas se demander pourquoi le veau d’or existe, mais pourquoi tant de demeurés acceptent d’être traités comme les derniers des esclaves. Le traité de la servitude volontaire a peut-être dévoilé la pire des turpitudes : celle de l’esclave qui aime son persécuteur.
Antoine Solmer
Les masques tombent autour de la terreur sanitaire et de la propagande globale liée au vaccin contre le COVID-19. L’AfD a reproché au gouvernement allemand de promouvoir les vaccins alors qu’il n’avait aucune preuve scientifique que le principal vaccin administré dans le pays sauvait réellement des vies.
Le 5 septembre, le ministère allemand de la santé, dirigé par Karl Lauterbach (SPD), a admis devant le parlement de son pays qu’en ce qui concerne le vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech, aucune “différence significative en termes de mortalité globale” n’avait été constatée entre les personnes vaccinées contre le COVID-19 et celles qui ne l’étaient pas. Cette déclaration a été faite en réponse à une question parlementaire soumise par Roger Beckamp, député de l’AfD, rapporte Junge Freiheit.
M. Beckamp a posé cette question en se fondant sur l’étude portant l’identifiant C4591001, qui faisait partie des informations sur les essais cliniques soumises au gouvernement allemand en vue de l’approbation de la Comirnaty. L’étude a porté sur 43 448 sujets, dont la moitié a été vaccinée et l’autre moitié a reçu un placebo.
Dans des commentaires à Junge Freiheit, Beckamp a déclaré que le gouvernement fédéral doit maintenant admettre ce qu’il sait depuis longtemps : le vaccin n’a pas fonctionné.
Les résultats de l’étude démontrent qu’il n’est pas justifié de promouvoir le vaccin Comirnaty COVID-19, également connu sous le nom de “vaccin Pfizer“, que ce soit par la propagande, la pression sociale ou les mandats.
Aux États-Unis, une analyse indépendante des données des Centers for Disease Control publiée en novembre 2022 a révélé qu’en avril 2022, 4 décès sur 10 dus au COVID-19 concernaient des personnes vaccinées ou ayant reçu un vaccin de rappel, une donnée qui est restée vraie au moins jusqu’en août 2022, selon l’analyse.