Sérum physiologique à la place du vaccin anti-Covid. Seuls 3 patients trompés portent plainte : signe d’une prise de conscience ?

 

Un article de Breizh Info m’avait échappé. Sa pertinence, tant psychologique que médico-sociale mériterait une longue discussion. Ici, je me contente de reproduire le texte de son auteur (j’insiste) la journaliste Audrey D’Aguanno. Qu’elle soit remerciée pour sa vigilance.

Antoine Solmer

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Sergio Costantini, un médecin de famille de Falconara Marittima en Italie, est accusé d’avoir injecté une solution physiologique à la place du vaccin anti-Covid. Or, deux ans après les débuts de l’enquête, seuls 3 des 56 patients leurrés ont voulu porter plainte.

Et c’est bien le petit détail qui fait tout l’intérêt de ces lignes : non seulement il démontre que le citoyen lambda ne se fie pas au vaccin, mais il rappelle aussi la désorganisation des systèmes sanitaires alimentée en grande part par le climat anxiogène propagé par les pouvoirs publics.

Dans le présent cas, les faits remontent à avril 2021. La péninsule affrontait la troisième vague de la pandémie et la campagne de vaccination avait commencé depuis peu. Les premières doses de vaccin réservées aux catégories fragiles arrivaient dans les cabinets des médecins. Mais dans le cabinet de Sergio Costantini, seulement six doses parvenaient. Selon la Rai, l’émetteur public italien, le médecin aurait injecté du sérum physiologique à la place des vaccins pour tranquilliser les patients paniqués à l’idée d’être sans protection face à cette nouvelle vague de Covid-19 “hautement mortelle”.

La réticence du professionnel à délivrer les attestations de vaccination avait éveillé des soupçons chez trois d’entre eux qui ont alors alerté les forces de l’ordre. Il est suspecté de faux intellectuel, détournement de fonds publics et obstruction de service public. Or, deux ans après le début de l’enquête, seuls 3 des 56 patients concernés se sont constitués partie civile. L’audience préliminaire a été reportée au 5 décembre prochain, mais peu de chance que les 53 autres patients changent d’avis. Ce qui est assez surprenant dans un pays où l’on porte plainte très aisément.

Faut-il en comprendre que ces derniers ne croient plus à l’efficacité d’un vaccin dont on nous promettait qu’il protégeait à 97 %, puis 95%, puis 90%, puis 80% puis plus rien, contre la maladie ? Faut-il en comprendre que tous les mensonges, toutes les aberrations d’autorités qui ont délibérément fait paniquer la population en présentant chaque jour les bulletins de morts, chiffres en grande part déformés, ont à leur tour généré un climat de suspicion envers ces mêmes autorités ?

Un immobilisme qui se retrouve, cependant, à tous les niveaux. L’admission d’une responsable de Pfizer (1) au Parlement européen, qui avouait que leur vaccin n’avait tout bonnement jamais été testé pour prévenir la transmission, rendant de fait les passeports vaccinaux et les délirantes mesures de privations de liberté totalement injustifiés, auraient dû déclencher rien de moins qu’une révolution. Surtout si l’on ajoute à ce scandale, celui des sms secrets d’Ursula von der Leyen avec le PDG Pfizer, l’obligation larvée à l’injection de vaccins encore en phase de test, la multiplication des morts suspectes de personnes en bonne santé vaccinées, les individus affectés officiellement de maladies à la suite de l’injection, les effets secondaires passés sous silence, les plurivaccinés ayant quand même contracté le Covid etc…

Or, comme dans le cas des patients auxquels on a administré du sérum physiologique, rien, pas de réaction de nos concitoyens. Encéphalogramme plat. Serait-il plus aisé de tourner la page qu’admettre avoir été trompés et d’avoir pris part à ce qui ressemble de plus en plus à une vaste fumisterie ? On peut se le demander.

(1) Janine Small, responsable des marchés internationaux Pfizer. Intervention complète ici.

Audrey D’Aguanno

Crédit photo : DR

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