NOUS SOMMES PLUS QUE JAMAIS LES OBLIGÉS DES VIRUS

En cette année 1 de l’ère Covid, et avant de passer à l’année 2, jusqu’à la 2050, ou plus, il est bon de réfléchir sur nous-mêmes, pauvres mammifères si fiers de nos petites cellules grises, et si ignorants de nos « origines premières » autant que de nos « fins dernières ». Pardonnez, si vous le voulez, la fausse symétrie de ces deux expressions, la première n’étant que pléonastique, posée que pour un équilibre de style, la seconde visant une réalité profonde, à condition de donner à ces « fins » leur sens causal pratique indépendant du temps. En clair, n’ayons pas peur de jouer avec les mots de la vie, alors que les virus jouent avec l’alphabet génétique de nos vies, et visons un point intermédiaire de notre voyage à travers le temps, cette fameuse année 1.

Bref, nous revoici à parler de Covid et de ses vaccins, cadeaux de pères Noël empressés d’un nouveau style, qui tiennent les rênes de la finance à défaut de celles des bons vieux rennes du traîneau. Car ils nous apportent ce genre de cadeaux qui nous rappellent le « Timeo Danaos et dona ferentes. » de Virgile. Cette courte phrase latine est autant une règle de grammaire (datée) qu’une consigne de prudence (éternelle) : Je crains les Grecs, même s’ils m’apportent des cadeaux.

Remplaçons « les Grecs » par « les marchands du temple de la médecine », et autorisons-nous une traduction moins littérale : Craignons les vaccinateurs et surtout leurs cadeaux empoisonnés.

À propos de vaccins, je ne me sens pas obligé de revenir sur les plaidoyers pro domo des marchands, mais je préfère les saines interrogations qu’osent émettre, au risque de leurs carrières, des médecins qui ont gardé en eux le bon sens hippocratique.

Chacun choisira son organe d’information. Je recommande – entre autres – un article très clair de Thomaïe, extrait du blog Au-delà du climat. Il mériterait que je le copie intégralement. L’honnêteté impose de rendre à César…

Je souhaite cependant l’enrichir d’une présentation complémentaire à deux niveaux :

Premier niveau : la syncytine, dégât collatéral du vaccin à ARN

Cet article cite les Drs Yeadon et Wodarg qui craignent que le vaccin à ARN messager, actif contre les protéines de pointe du Covid ne s’attaque aussi à une protéine qui leur ressemble : la syncytine.

Mais à quoi sert cette syncytine (en réalité la famille des syncytines) ? Simplement à une « petite transformation » : la fabrication du placenta, cette enveloppe grâce à laquelle le fœtus peut se développer dans l’utérus maternel.

« Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une infertilité de durée indéfinie chez les femmes vaccinées. »

Deuxième niveau : la modification de l’ADN (notre code génétique)

Un autre article, plus directement scientifique, doit être cité (et lu). Celui de deux chercheurs de l’UMR 8122 du CNRS [1] (Anne Dupressoir et Thierry Heidmann) :

Il y est expliqué que : « Au cours de l’évolution, les vertébrés ont été exposés à de multiples vagues d’infection par les rétrovirus. Par leur capacité remarquable à intégrer leur ADN dans le génome de la cellule cible, certains rétrovirus se sont insérés dans la lignée germinale de leur hôte. Ils ont ensuite été transmis verticalement de génération en génération, de façon mendélienne. »

La syncytine – cette protéine formatrice du placenta – provient d’un tel rétrovirus. Cela est largement prouvé. Au point que les deux chercheurs envisagent le « scénario plus audacieux » « selon lequel l’émergence, il y a plus de 100 Ma, d’un placenta prototype chez un vertébré ovipare a bénéficié de la capture d’une enveloppe rétrovirale fondatrice dotée des capacités immunosuppressives de son ancêtre viral et qui aurait permis la prise de greffe des tissus fœtaux dans l’organisme maternel. »

En clair, les syncytines ont pu permettre aux mammifères femelles ovipares de cette époque de devenir les vivipares de la nôtre.

En plus clair, mais bien plus sombre : une modification induite par un virus à ARN de notre code génétique altérant la capacité de produire des syncytines bloquerait la capacité de développement d’un placenta et rendrait dont les femmes affectées stériles.

Conclusion première en toute logique

On s’explique bien les cris d’orfraies des trafiquants d’or frais et autres pharmaco-dollars ! Jeter une ombre sur le vaccin à ARN, c’est attaquer leur pêche miraculeuse. On sait depuis Vespasien que l’argent n’a pas d’odeur. Sauf quand ça pue vraiment trop fort.

Conclusion seconde en toute supposition

Qu’en pensent M. Bill Gates et consorts qui se démènent tant pour réduire la population de la planète ? Jusqu’à quel point ce « risque » de stérilité à grande échelle ne s’inclut-il pas dans une politique élargie de « bénéfice-risque » ?

À chacun de s’interroger en conscience.

Conclusion tertiaire en toute philosophie

Il serait bien ironique que cette irruption de rétrovirus en nos codes génétiques, responsables de l’enfantement qui nous a menés jusqu’à nos jours, ne déclenche par une manipulation rétrovirale « humaine » l’extinction d’une part majeure de l’humanité.

[1] Unité des rétrovirus endogènes et éléments rétroïdes des eucaryotes supérieurs, UMR 8122 CNRS, Institut Gustave Roussy, 39, rue Camille Desmoulins, 94805 Villejuif, France