LE POISSON POURRIT PAR LA TÊTE, ET MÊME PAR BANCS ENTIERS

Sous le titre « La journée des transgenres », Magali Marc[1] a traduit et publié sur Dreuz un article de Bradley Jaye, paru sur le site  Breitbart, le 30 mars. Je vous en livre ici quelques extraits et vous engage à aller à l’original[2] présenté ainsi : 

« La Maison Blanche du président Joe Biden a déclaré la plus sainte des fêtes chrétiennes “Journée de la visibilité des transgenres“, annonçant que “les Américains transgenres font partie du tissu de notre nation“. »

Suit une définition de la fierté de Joe Biden dont voici les bases :

« Fier d’avoir nommé des dirigeants transgenres au sein de mon administration et d’avoir mis fin à l’interdiction faite aux Américains transgenres de servir ouvertement dans l’armée […] Fier d’avoir signé des décrets historiques qui renforcent la protection des droits civils dans les domaines du logement, de l’emploi, des soins de santé, de l’éducation, du système judiciaire, etc. […] Fier d’avoir promulgué la loi sur le respect du mariage, qui garantit que chaque Américain peut épouser la personne qu’il aime. »

Il continue ainsi :

“Mon administration travaille à arrêter l’intimidation brutale et le harcèlement des enfant transgenres et de leurs familles. Le ministère de la Justice a entrepris des actions pour réprimer des lois extrêmes et non-américaines d’États visant les jeunes transgenres et leurs familles et la ministère de la Justice a pris des accords avec des groupes communautaires et de mise en action de lois pour combattre la haine et la violence[3]. »

Le moins qu’on puisse dire est que le galimatias et l’appel aux conflits sortent à plein jet du Robinette de Joe Biden.

Il faudrait tout de même comprendre que pousser à ce point le communautarisme, et surtout pointant du doigt des supposés victimes de supposés agresseurs est un ferment de dissociation nationale qu’aucun responsable politique ne devrait se permettre. Cela sans même juger sur le fond les arguties du mouvement LGBTQI+ en attendant le reste de l’alphabet. Et Dieu sait qu’il y aurait à dire, à déclamer et même à hurler. Car faire de ce 31 mars 2024, jour de Pâques, la première journée de la visibilité des transgenres », c’est insulter la religion dont il prétend être.

Il y aurait tant et plus de contre-arguments à élever contre ce discours débilitant. Et d’abord l’inversion de son discours, car les supposés agressés sont les vrais agresseurs. Mais il faut voir de qui cela vient. Si le Robinette aux neurones déliquescents est aux manettes apparentes des USA, nul doute que ses soutiens démo-gauchistes restent à la manœuvre. Question d’argent plus ou moins sale en provenance de lobbies favorables à « l’identité de genre ». Questions multiples et néo-connes sur les intérêts du complexe militaro-industriel qui se frotterait les mains d’une bonne guerre menée jusqu’au dernier Ukrainien (ce ne sera pas Zelenski, mais un pauvre pékin). Questions multiples de La Grande Braderie Trans Queutarde Internationale et plus si affinités.

En réalité profonde, nous sommes ramenés aux questions sur le sexe des anges pendant que les Turcs assiégeaient Constantinople. On aura beau me dire que l’histoire réelle n’est pas tout à fait conforme à la formule, je persiste à dire que son sens profond vaut mieux que cent livres d’histoire officielle. C’est de la survie d’une nation qu’il s’agit. Survie de son tissu social, dont Biden se moque d’autant plus qu’il le confie à la soumission d’un groupe par nature destructeur d’identité. Survie de son image dans le monde qui confine à la dictature de la grande déconfiture. Survie de son socle religieux déjà miné par des drapeaux arc-en-ciel violant le symbolisme premier de l’alliance transcendante d’où toute question de cul – c’est de cela qu’il s’agit en l’occurrence – était exclue.

Oui, décidément, les Chinois ont raison de dire que le poisson pourrit par la tête. Quel bel exemple sort de ce « robinette » mal embouché et presque bouché ! Mais combien de poissons l’accompagnent, là-bas, et même ici ? Combien de bancs d’où se dégagent des vapeurs à retourner le cœur, même de ceux dont le Covid a atteint l’odorat ?

Quant à la coïncidence avec le jour de Pâques – n’imaginons surtout pas une erreur de calendrier – c’est un deuxième acte de soumission abjecte. Une jouissance de vieillard cacochyme ? Tout devient possible.

Je précise qu’une déclaration semblable lancée un jour de fête musulmane par un président de l’Algérie, qui doit être musulman comme la Constitution le prévoit, m’aurait révulsé au même degré. Mais, pour être franc, je ne crois absolument pas à une telle éventualité. Les forces de vie sont chaque jour plus proches de l’Islam que d’une chrétienté dont Biden se moque comme de sa première ou dernière couche.

Antoine Solmer

[1] © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

[2] https://www.dreuz.info/2024/03/selon-joe-biden-le-dimanche-de-paques-est-la-journee-des-transgenres-296157.html?amp=1

[3] https://www.breitbart.com/politics/2024/03/30/joe-biden-declares-easter-sunday-transgender-day-of-visibility/  Traduction personnelle