L’EUROPE N’EST PLUS L’EUROPE, IL S’EN FAUT DE BEAUCOUP !

Les nuls endoctrinés qui sont aux manettes ont baptisé “populistes” tous ceux qui sont pour la souveraineté des peuples et la civilisation occidentale et contre les folies de Bruxelles et l’immigration incontrôlée. Les partis qui gouvernent l’Europe depuis 30 ou 40 ans ont obtenu des résultats objectivement “même pas médiocres” (mais ne jetons pas d’huile sur le feu : les paysans nous donnent de jolies leçons de modération). Pour notre malheur, ces néfastes continuent de dominer l’Union européenne, ce qui est un drame et… la cause de tous nos drames.

Les programmes prétendus “verts” sont en vérité rouges, mais cachés sous des masques verts, d’où leur nom (comme “les gilets jaunes” ou “les bonnets rouges” !). Les Verts, d’une manière inexplicable compte tenu de leur vacuité propre et de celle et de leurs programmes, exercent sur les instances dites européennes (qui ne sont que mondialistes, ce qui a l’air idiot, puisque, à l’expérience, “ça ne marche pas du tout !” ) une influence disproportionnée dont les conséquences ne peuvent être que néfastes. Ils soutiennent tous l’immigration sans restriction jusqu’au remplacement (mot dont ils interdisent l’usage, car cela révélerait leurs intentions profondes) et prônent le multiculturalisme (dont la définition est secrète : elle exige une extinction de la race blanche – qu’ils haïssent).

Ils sont tous résolument hostiles à toute défense de la civilisation occidentale, à la libre entreprise, au libre marché… et, de manière plus générale, à tout ce qui ressemble à de la liberté. Ils sont en faveur d’une croissance zéro (sans dire ce que cela peut bien vouloir dire !), et ils se sont laissé fourguer une vision apocalyptique du changement climatique : pour eux, la survie de l’humanité est en jeu si l’Europe ne s’autodétruit pas dans une croisade suicidaire pour “sauver la planète”… “quoi qu’il (lui) en coûte”. Tous se disent démocrates “au point d’être favorables à des décisions autoritaires imposées depuis Bruxelles à toute l’Europe”.

Un parlement européen qui s’est soumis à l’influence des Verts a accéléré dangereusement le glissement vers le pouvoir sans limite, sans droit, sans textes et sans justification et vraiment sans raison autre que mortelle, que se sont attribués les membres de la Commission européenne (NDLR – vous avez remarqué, édito après édito, que pour moi, seul le nom de “grosse commission” décrit les performances mortifères permanentes de cet organisme cancériforme), provoquant la farce interminable (un peu “inter” et surtout “minable”), honteuse, humiliante, et indigne, que des politicards sans envergure ni colonne vertébrale nous ont forcé à ingurgiter, jour après jour, en parlant d’une pandémie de covid – qui n’était ni l’une ni l’autre, mais une invention diabolique que des scientifiques véreux ont prétendue vraie.

Ces folies coûteuses ont escorté un ridicule renoncement progressif à l’énergie nucléaire et aux énergies fossiles, au nom d’un besoin d’énergies soi-disant “renouvelables”, qui ne sont et seront jamais capables que de répondre, au mieux, qu’à une petite fraction de nos besoins déjà connus…. Il en va de même pour tout ce qui concerne les politiques favorables à davantage d’immigration, sensées (de manière insensée !) remplacer des naissances rendues problématiques par le même système mortifère : nos “instances suprêmes” semblent n’être capables d’être intéressées que et exclusivement que par … tout ce qui est catastrophique. Mais où vont-ils chercher un tel masochisme ?

L’Europe est probablement tout au bord d’un déclin irréversible. L’écrivain Renaud Camus écrit dans son journal que “les Européens semblent choisir l’euthanasie”. Dans les premiers paragraphes de L’étrange suicide de l’Europe, Douglas Murray précise : “quand disparaîtront les gens actuellement en vie, l’Europe ne sera plus l’Europe”. Les poussées éventuelles des mouvements “populistes” aux élections à venir suffiront-ils à arrêter le déclin de l’Europe ? Si rien ne change, la doctrine d’un “mondialisme-seule-solution” (cf. les bobards tels que “la France est trop petite pour etc…”) pourrait tuer tout ce que nous aimons, devant des inepties non-désirées : vaut-il mieux “ramer” pour obtenir ce qui nous était offert gratuitement au temps de la grandeur française … ou disparaître en se faisant attribuer des tas de faux avantages dont on ne veut pas, dont on n’a pas besoin, et qui, en dernier ressort, ne sont pas des avantages ? (exemple : 9 milliards de vaccins covid, qui ne soignent ni ne protègent, pour 450 millions d’européens !)

J’ai été très frappé, ce matin, en lisant le mail d’une fidèle lectrice et amie qui répondait à mon éditorial d’hier (“Et la France, dans tout ça ?”) en ces termes : “Tu peux être sévère et même dur avec ceux qui méritent si fort d’être condamnés (et même damnés !) : tous ceux qui ont été et sont au pouvoir n’ont jamais été à la hauteur, ils n’ont jamais su construire quoi que ce soit ni “avoir une vista”, comme tu le dis souvent. Ils signent sans relire – pour que de soi-disant “Sages” (MDR !) retoquent tout ce qui ne va pas dans leur mauvais sens à eux – ils nous dirigent vers des lendemains garantis sans espoir, et surtout ils font tout ce “n’importe quoi”… sans se soucier, dans la poursuite de leurs rêves cauchemardesques, des conséquences de leurs mauvaises décisions… À force d’être mauvais, ils sont désespérants !

“Et en face de cette nullité infinie, on trouve soudain nos pauvres agriculteurs, qui dressent leur courage, leur abnégation, leur allocentrisme et leur foi en leur mission (nourrir, malgré les textes, les interdits et les normes pourries). La réalité qui vient de surgir devant nos yeux qui la voyaient sans la voir est terrible : si tous les nuisibles se mettaient à leur ressembler, à être aussi courageux, travailleurs, passionnés, fonceurs, et entrepreneurs qu’eux, la France se remettrait à tourner rond dans la seconde, de l’école aux hôpitaux. Tout irait mieux, tout marcherait…

’’Nos paysans sont des seigneurs : ce sont les nouveaux aristocrates ! Pour eux, comme me le répétait mon père (NB – Son père était un paysan, vrai, authentique, à l’ancienne… comme il en faudrait des millions dans les ministères, dans la fonction publique, dans l’enseignement) on n’arrête de travailler que parce qu’on a parfaitement terminé tout ce qu’on avait à faire. Mais pas parce qu’on est fatigué (ou parce qu’on a droit à un congé négocié par des syndicats qui se fichent pas mal de l’intérêt commun et de la Nation)”. (Rappel : et le mien disait “Je dois” est toujours prioritaire sur “j’ai envie”. C’est la même chose !)

Le face-à-face dont nos petits écrans nous rendent témoins obligatoires est à la fois terrifiant et… à l’image du temps : un combat à mort entre une armée de Goliaths qui n’ont jamais su produire quoi que ce soit en dehors de “tonnes d’emmerdes” pour leurs malheureux “administrés”, et de rouleaux de papier (que je ne qualifierai pas ici : c’est “limite hors-sujet” !), normatifs, tatillons, redondants, tatasses… et inutiles, d’une part,… et, d’autre part, la fine-fleur de l’Humanité, de vrais “Hommes” au sens plein du terme, qui luttent pour une survie que les malfaisants ont décidé, sans la moindre raison valable et défendable, de leur interdire, au nom de leurs théories assassines – qui n’ont jamais marche, nulle part.

Puisse David l’emporter, dans cette lutte millénaire entre le Mal et le Bien, comme il l’a souvent fait dans l’Histoire, dit-on… Mais c’était en des temps où Dieu, aimé, craint et respecté, protégeait Sa Créature. Dans le cas présent, le Mal (c’est-à-dire l’idéologie perverse de la mondialisation, qui préfère importer des raisins du Chili par avion (Bonjour, leur ridicule “bilan carbone”!) que de remercier nos paysans, a eu le temps de préparer ses armes, et la victoire du Bien est plus incertaine : il y a de quoi “avoir les boules” ! Il nous reste l’espoir : il fait vivre, affirme la sagesse des Nations ! On peut toutefois redouter que le dialogue entre un “condamné-à-mort par un système a-humain” et un technocrate pour qui le comble de l’action se résume à “pondre une n-ième norme perverse ou à réunir un n-ième comité inutile” ne mène pas à grand chose ! Et dans ce cas… Les jours à venir vont être passionnants à suivre !

H-Cl