Le titre de l’article du jour est celui que Guy Millière a choisi pour nous aider à comprendre ce super mardi où Trump a écrasé la clientèle de gauche, déclarée ou traître, pour devenir le candidat officiel face à Biden. Je respecte la décision de Guy Millière et ne reproduis pas son article que je vous engage fortement à lire. (*) sur Dreuz.info.
Mais rien n’empêche d’en tirer quelques informations et d’y ajouter des commentaires.
Parmi les choses étonnantes aux USA, il y a Bernie Sanders dans le Vermont, dont le programme n’aurait pas trop déplu à Lénine et consorts. Si vous ne me croyez pas et avez du temps à perdre, lisez-le ! Autre curiosité, le parcours de traître (il en faut toujours un qui, en ce cas fut une) de Nikki Haley.
On a vu aussi des hurluberlus demander que le nom de Trump soit retiré des bulletins de votes dans le Colorado et le Connecticut. La Cour suprême leur a botté le bas du dos, ce qui est le moindre, alors qu’une telle demande devrait, en soi, être soumise à représailles juridiques ou monétaires. Mais je suppose que Donald T. n’a pas de temps ni d’énergie à perdre.
Selon Millière, les sondages qui donnent Trump gagnant par 5% au moins rendent “la possibilité de fraude démocrate bien plus difficile qu’en 2020”. Il faut dire que ce fut un festival de triche tel qu’un homme comme Al Capone en serait tombé jaloux. Le dossier de Dreuz.info de l’époque est plus qu’édifiant. Il donne même envie de vomir, mais on sait sur qui et à cause de qui si l’on se rappelle que la Gauche est, à toujours été, et sera toujours incapable de supporter que le peuple lui soit hostile. Bourrage des urnes, extinction des lumières, coupures d’électricité, achat de votes ou des responsables de salle, sans compter les menaces en tout genre : cela, ici ou ailleurs, au nord ou au sud, d’est en ouest reste caractéristique de la gauche.
Et cela ne vise pas seulement la droite, mais tous ceux qu’elle déclare ses ennemis. Ainsi, “Aux internationales qui réunissent une poignée de militants, Marx fait régulièrement bourrer les urnes par les siens pour l’emporter.” (**)
Normal et attendu si l’on réécoute l’Internationale qui est le seul programme de la gauche.“C’est la lutte finale / Groupons-nous et demain / L’Internationale / Sera le genre humain”
Si l’on ne comprend pas qu’il n’y aura qu’un vote (en imaginant que cela existe encore) et qu’il sera le même pour et par tous, car on aura éliminé le reste, il ne reste plus qu’à retourner à l’école, celle de la vraie vie politique.
Alors, bien sûr, les bidenomaniaques se répandent en mensonges et calomnies :
« Donald Trump est un “danger pour la démocratie”, et ils font dire à Biden que l’élection sera un choix entre la “préservation de la démocratie” incarnée par les Démocrates et son abolition par Trump : c’est le seul argument qui leur reste, et c’est un argument minable et odieux. Donald Trump a toujours respecté la démocratie, et le danger qui pèse sur la démocratie américaine est incarné par les Démocrates qui ont désormais une mentalité et un comportement totalitaires. »
Voilà, qui, j’espère, vous aura donné l’envie de lire l’article en totalité. Je ne crains qu’une chose : un tireur fou, du style de Lee Harvey Oswald, lui-même envoyé ad patres par un autre maboule du type de Jack Ruby, et une commission qui traîne en longueur. Car je fais une confiance absolue à la gauche qui sait très bien se transformer en “action directe” si nécessaire.
D’autant que Trump a compris ses erreurs, sa trop grande gentillesse envers l’État profond, et qu’environ 50 000 de ces traîtres profonds ont du souci à se faire si le républicain Trump restaure la vraie démocratie en en chassant les vautours.
Antoine Solmer
(*) https://www.dreuz.info/2024/03/super-tuesday-trump-en-route-vers-la-victoire-au-mois-de-novembre-294865.html?amp=1
(**) Lettre 1 de Michel Onfray dans La Gauche réfractaire, p. 20