URGENCE

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Urgence…

  Une des pires maladies qui nous menacent est cette névrose autodestructrice qui agite l’Occident dans un sens qui est un non-sens et qui met en péril sa survie. Les pays dits “avancés” doivent se ressaisir, sous peine de voir les pays “pas encore développés”, sombrer sans espoir. Déjà, nombre de pays sub-sahariens n’existent que grâce à la manne venant de ceux qui ont trouvé un emploi en Europe ! Si on veut un jour retrouver la joie de vivre dans ce qui fut notre douce France (jusqu’à sa pollution par de faux progrès mortifères), arrêtons donc de faire les chochottes en minaudant “ce n’est pas entièrement vrai”, “je connais un immigré qui ne… pas…” ou leur mortel “pas d’amalgames, qui rend impossible d’émettre la moindre idée ! !”.

Dire “les anglaises sont rousses” n’a jamais voulu signifier qu’elles l’étaient toutes, et corriger une phrase telle que celle-là (par une imbécillité dans le genre “il y a des anglaises qui ne…”) est donc une vraie cuistrerie, du dernier contre-productif… On appelle ça : chercher la petite bête’’, ou (et c’est plus fréquemment le cas) : “faire la bête pour avoir du foin”. La Gauche française, qui n’a plus rien à dire, excelle dans ce méchant “à qui perd, perd” : chercher LE mot sur lequel on va pouvoir jouer les vierges effarouchées et faire croire que c’est “une menace pour nos valeurs” –qui ont bon dos, les pauvres ! Déjà qu’elles n’existent plus que virtuellement… (et si elles ont un jour existé…).

Les causes de cette névrose tout-à-fait injustifiée sont, pour la plupart, identifiées. Retenons-en deux, pour aujourd’hui  –et c’est déjà beaucoup, tant il y a de choses à en dire ! (1)- L’ensemble des malhonnêtetés (filles d’une lecture masochiste de l’histoire, de la colonisation et d’un certain islam) qui se retrouvent en pire sous les vocables “woke” et-ou “cancer culture” (vous avez bien lu : cancer. Pas ‘cancel’, comme certains le disent mensongèrement), et (2)- La fausse écologie, qui n’est que catastrophique, catastrophiste et désespérante. Ces pathologies menacent l’humanité d’une sauvagerie et d’une misère physique et morale aux conséquences insoupçonnables. Or les médias ne distribuent plus que des nouvelles qui sont inquiétantes pour toute personne qui pense… mais qui sont présentées comme autant de preuves de la marche de l’Homme vers des nouveaux sommets –qui ne sont que des analyses perverses de situations réinventées, qui ne peuvent que hâter la fin de toute organisation humaine ou sociale susceptible de fonctionner.

Un exemple suffira à étayer les affirmations qui précèdent : tous les maux décrits ci-dessus sont visibles dans toute leur horreur potentielle (cf. L’École de la vie) par “France 2”, ce déplorable  ’‘Sévice public’’ (jeu de mots facile, mais mérité !) qui tente d’implanter dans les esprits que notre Éducation nationale ne serait minée que par un corps constitué d’élèves racistes. Cette opération de bourrage de crâne est un cauchemar : pour parler de racisme à tout bout de champ, des speakers et des “commente-à-tort”, sur-payés mais pas honnêtes pour autant, oublient toutes les “incivilités” (en français d’avant : des délits graves) commises en invoquant un “Oullah ! Sur l’coran” anachronique… et tant d’autres cas, tous inacceptables, tous scandaleux… et tous, n’ayant rien à voir avec ce que vont nous faire croire nos médias détricoteurs (pour laisser le pauvre Samuel Paty reposer enfin en paix).

Dans le monde impossible dont rêvent nos ‘’progressistes’’ (?) dévoyés (et stupides), la seule mission des profs et des proviseurs (encouragés par une Presse perverse) serait de faire la chasse aux méchants élèves racistes. Et blancs, par définition. Un père qui pleure son enfant est “un père haineux”, un tribun qui dit la vérité est “un polémiste qui divise”, un non-blanc qui ne hurle pas avec les hyènes est un traître à leur cause, et il faudrait qu’on croie les pauvres gens désespérés à qui on fait psittaciser, à force de bourrage de crâne, “ils n’auront pas ma haine”… ce qui revient très exactement à trahir le cher disparu assassiné et “pactiser avec l’ennemi sur le champ de bataille” ! L’Occident survit encore un peu, mais c’est en pleine pulsion suicidaire !

Le parti-pris de nos “myopes-par-système” est tel qu’on se demande s’ils n’ont pas fini par croire à ce qu’ils racontent : pendant longtemps, le hiatus entre ce qu’ils blatéraient et ce qui crevait les yeux (en français d’avant, on appelait ça “le réel”) était tellement grand qu’on pouvait croire à une méchante intention de nuire pour nuire, de détruire pour détruire… Mais devant leur entêtement à ne raconter que le contraire exact de tout ce qui est visible et à ne plus voir les réalités que déformées par les filtres de leur endoctrinement partisan, on est pris de doute. C’est comme si une hystérie ethno-masochiste avait remplacé toute pensée et toute réflexion et qu’il fallait aller… de notre ancien bonheur (même relatif) au futur sans espoir, ce nouveau référentiel insensé où nous entrons à toute vitesse… Dans le monde dont rêvent ceux qui… ne rêvent que de le détruire, il ne fera pas bon être… un être pensant, ou déviant, ou blanc. Ni d’une autre couleur, d’ailleurs. Ni même, en fin de compte… simplement vivant –mais  ils le découvriront bien trop tard, ces cons !

Mais s’il n’y avait que ça ! Car dans la série “mensonges qui débouchent sur des catastrophes”, il y a aussi l’écologisme ! Le bouquin de Michaël Stollenberger, dont nous avions parlé dans sa version anglaise, vient donc  d’être traduit en français, et toute la Presse découvre ce que les lecteurs de ce blog savent depuis près d’un an : tout ce qui se dit, se lit et sert de base à des décisions absurdes depuis des décennies… n’est qu’un tissu de mensonges énormes ! Comme dans tous les cas similaires ou proches (et Dieu sait s’ils sont nombreux !), aucun infléchissement de la doctrine officielle n’est à espérer : il y a trop d’intérêts, tant économiques que de pouvoir, en jeu, et beaucoup trop de réputations de gens qui ne sont devenus importants qu’à cause, précisément, de ces mensonges, se retrouveraient dans l’instant ramenés à ce qu’ils sont vraiment : rien ! Ils sont prêts à tout, bien sûr !

Alors… on va continuer, de “Cop” (27 ? 38 ? 53 ?) en Sommet, ou en “G” (à 9, à 12, à 20), et de Rapport faux en Séminaire bidon, à nous effrayer sans raisons, mais dans des proportions en rapport avec l’énormité des enjeux : “fins” (avec un “s”, comme si ce mot pouvait se décliner au pluriel !) du monde, des mers, des montagnes, des espèces, des plantes, des êtres vivants, des ressources, de l’air, de l’eau, des ratons-laveurs et des poissons volants, de tout et du reste ! Et les quelque 27 000 “Cop-istes” (en millions d’euros, ça fait combien, avions, bagnoles, hôtels, caviar et motards compris ?) vont “remettre ça”, et continuer à interdire (comme si tout ça pouvait servir à quelque chose d’autre qu’à “emmerder les français”) les bagnoles au diesel, les centrales nucléaires, l’essence, le chauffage central, les avions autres que à pédales, la vitesse sur route et le stationnement en ville, le sucre, la viande et le beurre, et la musique – ça, c’est pour les islamistes – tout en admettant tout ce qui convient aux plans marketing des “Big Pharma”, des géants du Web, de Tesla… et à la conquête de Mars, en attendant celle de Vénus ou celle d’Alpha-du-Centaure : ça fait tellement plaisir à Jeff Bezos ! Il adore ça !

La seule question qui vaille est : comme jamais un seul des vaniteux qui nous dirigent n’admettra qu’il se fout de notre gueule depuis des décennies… quand les hommes normaux, les “vous” et les “moi”, vont-ils se réveiller et rejeter en bloc tout l’édifice sans futur (et, d’ailleurs, sans présent !) que des générations de nuls qui pensaient de traviole, ont construit tout autour de nous, en profitant du fait que, globalement, les gens sont braves, gentils et ne pensent à mal que sous l’influence de systèmes inhumains ? Attention ! Ça ne va pas être facile, car le maillage qui nous retient prisonniers est si serré que nous avons pris l’habitude de nous répéter que sont vraies, acquises et exactes des notions qui sont toutes aussi méchamment fausses et dangereuses que l’islamisme, la culture “destroy” et l’écologisme de salon et de Gauche (c’est la même chose !)… qui polluent en profondeur tout ce dont ils s’approchent. Le danger est énorme, et la force nécessaire pour le rejeter devra l’être tout autant ! Il y a une grande urgence.

H-Cl.

 

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