Un incident malencontreux m’empêche de participer aux manifestations contre le dit « passe sanitaire ». Mais je suis représenté. Alors, je manifeste comme je peux, sur geocortex.site, et je m’explique.
LE MENSONGE « MADE IN MACRONIE »
On ne cesse d’étourdir les gens avec des mots dont on tord le sens. Cela permet de dire tout et son contraire, non seulement d’un jour à l’autre, mais aussi « en même temps » et « quoi qu’il en coûte ». Du macron comme s’il en pleuvait.
Eh bien, cela suffit, non seulement de ce président, mais aussi de son langage, et de ceux qui par bêtise, par peur ou par cupidité soutiennent cette girouette. Car quoi qu’en ait dit le défunt spécialiste Edgar Faure, on les voit trop vite et trop souvent tourner sans vent, ces petites machines déguisées en coqs de clocher, alors qu’il ne s’agit que de vieux bourrins au picotin.
Alors, de quoi parle-t-on ? On ne sait plus. Si bien qu’une seule pensée s’impose : plus aucune confiance à tout ce qui porte l’estampille « made in macronie », du plus haut au plus caché de ces profiteurs ! Plus aucune confiance, en rien à ce système de mensonge pathologique !
LES « CAS »
De quoi s’agit-il ? Interrogez vos voisins, amis, familles, ! Interrogez-vous, vous-même ! Qui ou quoi dissimule-t-on sous ce nom cas associé au diagnostic Covid ?
Des personnes hospitalisées pour tout autre maladie et qualifiées en plus de Covid ? Des personnes indemnes de toute autre maladie et effectivement atteintes de Covid en évolution et seul responsable des symptômes ? Des personnes ayant un test PCR positif en en excluant les « faux positifs » ? Des personnes ayant un test PCR positif « obligatoirement » déclaré « vrai positif » ? Les mêmes ayant des symptômes mineurs dont ils ne seraient pas inquiétés si cette épidémie n’avait pas eu lieu ? Les mêmes qui n’ont aucun symptôme ? Les « cas contacts » ? Avec ou sans cluster ?
On mélange le tout, on extrait de cette salade les ingrédients qui plaisent ou déplaisent, on change les définitions d’un jour à l’autre, on s’entoure d’aides marmitons brevetés « scientifiques » intéressés aux recettes – celles du tiroir-caisse.
On joue sur la notion d’incidence (les nouveaux cas dans une période donnée), on oublie la notion de prévalence (mot plus compliqué, nombre total de cas dans des périodes données), ici encore, on arrange à la sauce Pirandello : À chacun sa vérité.
Après, d’un jour à l’autre on fait sonner les tambours de la peur ou les trompettes de l’espoir, et on impose les décisions les plus aberrantes dans un sens ou dans un autre.
Bienvenue à la tambouille du père Macron !
L’IMMUNITÉ COLLECTIVE
Pour toute maladie contagieuse il existe des personnes immunes : elles sont en contact avec le germe et n’en subissent aucun symptôme perceptible.
Si la maladie est endémique (stable, sans épidémie) le pourcentage de personnes immunes reste stable. En cas d’épidémie (maladie qui se propage) des personnes immunes existent.
On réserve le terme immunité collective au pourcentage de personnes immunes dans la population suffisamment élevé pour que le germe responsable ne puisse progresser. En gros, plus le germe se distribue, plus il trouve des « résistants ».
Et c’est ainsi que d’immunité collective en diminution d’agressivité du germe, une épidémie disparaît.
Nous avons tous intérêt à ce que l’immunité collective s’instaure.
Le rôle des vaccins n’est pas contestable.
Mais le nombre de personnes spontanément immunes ne l’est pas moins. De plus, l’immunité personnelle spontanée et toujours plus forte que celle acquise par vaccination. Tout se passe comme si le germe se heurtait à des barrières plus résistantes, y perdait de ses forces (pardon pour le discours volontairement non-médical !)
Nous avons donc tous intérêt à ce que le groupe contienne le maximum de personnes spontanément immunes.
Et c’est sur ce point que la Macronie ment par omission. Une fois de plus, comme par « maladie de système ».
DONC, NON, NON ET NON AU PASSE-IMPASSE SANITAIRE
Il diminue les relations avec les personnes spontanément immunes
Comme expliqué plus haut, en séparant les personnes en possesseurs ou non-possesseurs de passe, il diminuera l’accès à l’immunité collective.
Il cache – mal – une obligation de de vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom.
Cela pour une simple raison de gros sous : des complications après un vaccin obligatoire seraient à la charge de l’État.
La macronie rajoute ici sa violence cachée.
Il impose des limitations de liberté qui sont la drogue de la macronie.
Nous voyons depuis le début de cette épidémie le comportement erratique de ce président, qui pousse à toujours moins de liberté, décret après décret, députés godillots votant comme des robots, ou absents, conseil d’État devenu chambre d’enregistrement.
Il multiplie les exclusions : du travail, de l’enseignement, jusqu’à l’hôpital !
À part en temps de guerre où les hôpitaux de l’avant ne soignent que les blessés « récupérables seulement par traitement de grande urgence » jamais un État digne de ce nom n’aurait envisagé d’exclure des hôpitaux des personnes n’ayant pas de passe sanitaire.
Le général Macron a perdu la tête avant de perdre son trône.