Souvenirs… souvenirs…

Depuis hier, les mauvais génies qui nous mènent à notre perte nous “taratatatent” sans pudeur la fin de la pandémie. Il aura suffi d’une demi-hirondelle pour que tous nos inconséquents (“-séquents”… dans le sens de suivistes !) s’imaginent voir le printemps à la mi-janvier, confondant, à la suite du Giec, “Climat” et “Météo” ! Je me suis amusé (tristement) à relire ce que j’écrivais en mars 2020 et après… et à le comparer à ce nous avons vécu et dont ils ne sont pas pressés de nous faire sortir ! Un retour sur  presque 2 années de “coloc” avec SRAS-Cov II semble s’imposer.

Des armadas de Diafoirus-pour-journaux-télévisés, l’air componctueusement catastrophé, nous ont annoncé que le printemps, puis l’été, puis des gesticulations-barrière et des lavements (de mains ! Qu’alliez-vous penser !), puis un confinement, puis des con-autres choses (tels les horaires ou des absences “en présentiel” et l’inverse), puis des vaccins-qui-n’en-sont-pas, etc… ouvriraient des nirvana frelatés, alors qu’ils ont toujours eu tout faux, contre l’histoire, l’expérience, et contre les faits. Mais on pouvait voir les choses autrement. Un exemple : “L’Histoire montre qu’une pandémie dure entre 2 ans et demi et 3 ans, quoi qu’on fasse : rien ne l’arrête. Puis elle meurt d’elle-même, devenant endémique mais acceptable” (dans ce Blog, le 19 mars 2020). J’avais  osé ajouter, puisé aux meilleures sources, “Il n’existe aucun vaccin qui puisse être efficace contre les SRAS”. Bingo ! Rien n’a pu ralentir ni arrêter ce machin satanique. C’est lui-même qui s’épuise peu à peu, comme c’était prévisible et annoncé : plus on est , à s’être fait piquer par leur messager-miracle, plus nombreux sont les “cas”, graves ou pas : 300 000/jour !

Pour rire un peu (et jaune !) sur ce sujet si triste… nous parlons souvent des mensonges de nos gouvernants et de leur bras séculier, maladroit bien à gauche : l’administration, avec un “A” majuscule… minuscule. Par exemple, il n’est pas sans signification qu’il existe dans la Ponction publique, repaire de faux talents inutiles, un “Directeur général de la Santé (publique, en plus)” ! Même Courteline n’aurait pas eu l’idée et l’audace d’inventer un titre aussi con et aussi éloigné de toute utilité envisageable : ici, l’organe a créé la non-fonction ! Le titulaire actuel de cette sinécure est plus caporal que général : il ne dirige rien – et surtout pas “la santé” (dont il ne sait rien : ça doit faire des lustres que ce morticole-en-chef n’a pas aperçu un malade !), qu’il confond avec la mort : c’est l’Ankou des vielles légendes celtiques, cette allégorie de la Mort, avec sa faux. “Diriger la santé”, ça devrait être veiller aux progrès de la santé dans le pays – un beau boulot à plein temps, si les mots avaient encore un sens. Mais le job de celui-là consiste à ânonner à la télé le nombre de morts du jour ! Pour l’administration perverse, santé = mort. Un comble !

Le nôtre, de Directeur-etc…, se nomme Salomon. Sans aucun rapport avec un jugement sain, c’est lui-même une sinistrose ambulante, le héraut mortifère et surpayé du néant total, un zéro absolu à lui tout seul, le prototype des “homo ça pionce”. Le voyant, on ne peut que douter de l’existence de Dieu, si l’Homme a été “fait à Son image” ! Ce roi Salomon revu et macronisé, est un roi des nuls, et son seul jugement digne de passer à l’Histoire (comme un gag suprême) sera d’avoir conçu un plan (d’ailleurs très peu “çu” !) : “Puisque tous les lits dans les hôpitaux ne servent pas tous les jours, on va en fermer le plus possible, par petits bouts pour ne pas que ça se voie. On dira que ça fait des économies (néfastes et coûteuses), mais la presse ne révélera que ce dont on lui dira de parler”. C’est qu’il est bien plus siouxx qu’il n’en a l’air, notre gland mammamouchi des pages nécrologiques !

Et… la machine à déconner s’est mise en marche… 69 000 lits supprimés en 15 ans, 17 500 “Macrone Consule”(en latin = “ablatif absolu”. En français = “ablation définitive” !) et 5 200 dans la seule année 2020, en pleine pandémie, alors qu’on savait parfaitement qu’il n’y en ait pas assez (c’était aux temps préhistériques où les génies de la “comm” n’avaient pas encore inventé les “antivaxx” pour tout leur coller sur le dos !)… Mais “quand la bise fut venue” (en l’espèce, l’espèce de crise de l’espèce de covid)… que croyez-vous qu’il se passa ? Eh bien, le con… tinua (si j’ose !) : on arrête pas un bateau ivre qui court sur son erre : on erre avec lui, “part-erre” d’abord, puis au “cimeti-erre” ! Et maintenant qu’arrive ce que prévoyaient ceux qui pensent, les Nuls disent que c’est à leurs inutilités contre-productives que serait dû un possible retour au calme ! C’est, juste, triste :  il y avait d’autres voies !

Car –second sujet de ce “billet”, second mais… sur le même sujet– voilà ce que les lecteurs de ce Blog, toujours bien informés, avaient pu lire il y a 22 mois (je supprime quelques passages, mais je ne change pas un seul mot, c’est vérifiable) : “Cela nous ramène à la folie furieuse qui détruit en ce moment-même le monde, l’économie, la finance, les relations internationales, les matches de foot et le moral des peuples (…) : force est de reconnaître que rien, pour le moment, ne justifie le quart de la moitié des postures, psychoses,  mesures, mises en scènes, discours et bobards qui ont déjà coûté tellement d’argent et causé tant de soucis… Une grande nouvelle : notre Président a décidé d’annuler la totalité de ses voyages (sic !). Pour quoi en faire ? Du vent ? Des réunions ? Des RTT ?”…[Rassurez-vous : ça a duré… le temps de faire croire aux gogos que c’était vrai ! ].

Et plus tard : ‘Les dirigeants de la planète ont une chance folle de pouvoir camoufler leur incapacité à résoudre les problèmes du moment derrière ce “bouc émissaire” ! La  Chine d’abord, avec Hong-Kong, les dissidents, les Ouigours, la militarisation dingue, et les sanctions US… Puis la Turquie, le Japon, et l’Europe en crise existentielle (Italie, Espagne, Allemagne, et en France, ou ce coup de bol inespéré permet un faux calme temporaire (…). “Exeunt”, donc, le remplacement des 42 régimes spéciaux par autant de nouveaux régimes spécieux, la frénésie fiscale létale, le mécontentement en forme de métastases, la dette publique en explosion géométrique, la baisse des revenus, l’inflation qui menace, les prix qui explosent, les gilets jaunes, les folies faussement écologiques, la mort lente des libertés (de mouvement, de pensée et d’expression, de parler librement de l’Islam –qui va avec une obligation impunie de taper sur l’Église), et la chape de plomb étouffante de la pensée unique… Oubliée aussi, toute joie de vivre des Français, confinée, elle-aussi ! Et hop ! au rancart, tous les vrais sujets : sécurité, terrorisme, envahissement dit migratoire, l’islam (-isme ou pas)… et j’en oublie tant d’autres !“

Et en juillet : ’’Ce virus –pourtant pas spécialement vicelard – a été un miracle : on peut tout coller sur son dos ! Et pourtant, je suis prêt à parier que ’’le gros trou d’air actuel va perdre son souffle” dans pas longtemps, et que les Bourses du monde vont rattraper un peu du temps perdu. [Ça, c’est déjà gagné : jamais grimpé à 7000 points ! ].Jusqu’à quand, tout ça ? Mais voyons ! Jusqu’à la crise suivante, la vraie, celle qu’il faut redouter et dont l’arrivée, sans doute plus proche qu’on ne croit, est inévitable malgré les bobards pour la cacher. Se moquent-ils de nous, ne savent-ils vraiment rien, ou sont-ils cons ? Les trois ? En attendant, “ils” ont ouvert la porte à des forces dont ils ignorent tout… et on ne voit pas ce qui pourrait faire que cet amateurisme mondialisé se termine autrement que par une vraie catastrophe’’.

Et j’ajoutais même, pour conclure :“Un souvenir a jailli, du fond de ma mémoire. Une citation de Romain Rolland,  en 1915, dans Jean-Christophe– Tome X, p 247), un diagnostic ciselé pour aujourd’hui : “On eût dit que le monde eût, pour le gouverner, fait le choix des plus médiocres. Au cours de cette période si courte où se décidera le sort de la France, les hommes en place ne pensent qu’à gagner du temps. Le pouvoir n’est plus qu’une fiction, et le rôle du gouvernement ne consiste plus qu’à sauver la face et à proclamer la valeur d’hommes dont il a été en mesure de juger l’incapacité”Quelle intuition…”.

Voir ce que tant de gens ont annoncé mis en marche balisée vers une horreur évitable… voir la France, que j’ai tant aimée quand elle était ‘’elle’’, s’enfoncer vers une caricature “pirandellienne” d’elle-même, après deux quinquennats dévastateurs seulement… me rend si triste, ce soir, en repartant pour une nouvelle semaine… “Yallah” (= en avant)… aimait à dire Sœur Emmanuelle !

H-Cl.