LA FURIA : FORT COMME UNE BÊTE, LIBRE COMME UN DIEU

LA FURIA
LA FURIA

LA FURIA ! Ça claque le baigneur de la wokyoucratie, ça déglingue façon Papacito, Obertone et autre Marsault. Tout ça en ce  même temps d’emmerderie et de scatocratie. Normal que ça pète le feu, LA FURIA, avec cette référence aux charges de furia francese, et  le parrainage — oui parrainage, pas LGBTage — le parrainage, donc, des Furies “chargées de rétablir la justice sans ménagement.”

Je cite, texto, Laura Magné dans son édito. Elle a du coffre la mignonne. Faut dire, pour driver les trois lascars de base, mi-tortionnaires d’images, mi-grangousieristes de profession, faut “en avoir,” sans “ou pas” comme ajoutait le vieil Ernest avant de se défoncer le caisson. Et j’oublie les autres. En réalité je ne les oublie pas. Il suffit de les lire, et pour ça, s’abonner à LA FURIA.

LA FURIA, qualifiée de “latino-viriliste, furie droitière” par Libération, avant même d’avoir lu le premier numéro qui vient de sortir.  Un régal ! Car être dénigré par la noirceur des gauchiocrates, est un brevet de bonne vie et d’excellente pensée.

Le numéro 1 est sorti. Flanquez un paveton dans la boîte à images macrono-véranesque et abonnez-vous fissa ! 

LA FURIA, REVUE SATIRIQUE, (VRAIMENT) INCORRECTE,
N’EST PAS SUBVENTIONNÉE, MÊME PAS DE GAUCHE.
LECTURE À VOS RISQUES ET PÉRILS

Antoine Solmer