Prime aux enfants « non binaires ». Pour Julien Masson, « Rennes est depuis trop longtemps le terrain des expérimentations délirantes »

Un seul commentaire de ma part pour cet article relatif aux folies woke : ne dites plus « c’est dingue », mais « ces dingues ». Insoignables, haineux et malfaisants. Pire que le film Affreux, sales et méchants !

Antoine Solmer

La polémique autour de l’attribution de subventions supérieures aux associations sportives rennaises qui déclareront des enfants « Non binaires » dans leurs effectifs ne faiblit pas. La mairie PS/EELV de Rennes vient  en effet de décider que les associations sportives rennaises qui inscriront des adhérents filles/femmes et « non-binaires » (traduire « ni homme ni femme » ce qui n’existe pas ni juridiquement, ni humainement) recevront plus d’argent public que celles qui inscriront des garçons/hommes.

Cette délibération a été présentée par Sélène Tonon, première conseillère municipale transgenre à Rennes, comme étant « l’ambition d’un véritable budget égalitaire qui serait débarrassé des stéréotypes de genre… »

Si la droite dite « d’opposition » à Rennes, menée par Charles Compagnon, s’est abstenue lors du vote, n’ayant même pas la moindre once de courage de voter contre, les condamnations de cette folie woke impulsée par la majorité municipale gauchiste sont venus de l’extérieur du conseil municipal (pour rappel, Nathalie Appéré et son équipe sont loin de faire l’unanimité à Rennes, moins de 25% des électeurs rennais ont réellement voté pour sa liste lors des dernières municipales).

Dans un communiqué adressé à la presse, Julien Masson, responsable du RN sur Rennes, dénonce le laboratoire Woke et gauchiste qu’est devenu la capitale administrativr de la Bretagne.

« Si la pratique sportive doit bien évidemment être ouverte à tous sans aucune exception, non, on ne peut pas dire à un petit Rennais qu’il « vaut » moins qu’un “non-binaire” ! Il s’agit aussi d’une mesure de déconstruction qui incite à nier la réalité biologique des sexes auprès des jeunes enfants: c’est la consécration de l’obscurantisme woke, idéologie sectaire issue de groupuscules américains radicaux voulant imposer une police de la pensée et du langage. L’idéologie woke pourrit tout, même l’égalité. Comme souvent, lors du vote de cette mesure au Conseil municipal de Rennes, cette mesure n’a pas rencontré d’opposition puisque les deux groupes macronistes de Mme Gandon et M.Compagnon se sont « courageusement » abstenus. Cours d’écoles « non genrées », burkini islamiste dans les piscines, évènements subventionnés interdits aux hommes…Rennes est depuis trop longtemps le terrain des expérimentations délirantes, communautaristes ou anti-France. Le Rassemblement National condamne fermement cette nouvelle mesure surréaliste et étudie la possibilité d’un recours en justice contre cette délibération » indique ce dernier.

Selon nos informations, d’autres associations étudient actuellement également tous les recours administratifs possible pour faire sauter cette délibération, qui pourrait bien créer un précédent.

La majorité municipale n’entend toutefois manifestement pas faire marche arrière. Le débat semble même clos, comme souvent avec les gauchistes. Ils avancent leurs pions au nom du « camp du bien et des gentils », qualifient tous les opposants à leurs réformes de fascistes, réactionnaires (ou le therme infamant que vous voulez) , et valident des projets minoritaires qui ensuite, ne sont jamais démolis y compris lorsqu’ils ne sont plus aux commandes.

La folie gauchiste ne progresse et n’infuse les cerveaux que parce que personne ne se lève fermement en face pour mettre fin aux agissements d’une petite minorité organisée et influente qui entend faire de la société et particulièrement de celle de nos enfants un laboratoire et un terrain de jeux.

Crédit photo : DR
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