Il a fallu gober les délires olympiques et « paralympiques » comme disent les cuistres qui ne savent plus que le trait d’union – celui que les ineffables ignares ont rétrogradé en « tiret du 6 ! » – ce trait d’union donc, répond aux difficultés de construction linguistique et nous aurait valu un « para-olympique » bien plus cohérent avec la langue française. Au fait, comment font ces maniaques du « tiret du 6 » pour épeler leur adresse courriel à un correspondant utilisant un clavier QWERTY ? Quand on perd sa langue, on se perd, une fois de plus. Et quand on rajoute une couche de langue de bois, on perd aussi sa culture et bientôt sa civilisation.
Mais il n’y a pas que le « tiret du 6 » qui tire la France vers l’abîme. Il y a aussi ces histoires de fesses quand elles se déclinent en LGBT et autres Quteries, ou quand elles glissent du graveleux à l’ignoble. Cette semaine nous en a fait voir de belles.
J’ai évoqué l’affaire des viols de Mazan, dans laquelle les réseaux de QI faiblards ont rassemblé une foule de dingos en folie. Le graveleux à la portée du petit sadique qui jouissait devant des corps bronzés s’envoyant sa blanche colombe. Une fois de plus, si tout s’était passé entre adultes consentants, personne n’aurait eu à y glisser son doigt. Mais là…
Alors il a fallu qu’une bande d’agités des neurones se montent le bobéchon et accouchent – faux mâles en quête d’imâlitude – d’une « charte de la masculinité ». Parfois, et plus souvent qu’il le faudrait, je me demande par quel type de gymnastique qui m’échappe ces artistes contorsionnistes en arrivent à se masturber le cervelas… je veux dire : leur cerveau-là et las. Je ne suis pas allé au bout de leur galimatias. Dès la première phrase, on devine que cela finira en queue de merlan, bref que ça défrise le premier homme normalement venu et velu attiré par le sexe dit faible, lequel se cache si bien derrière cet adjectif piège pour balancer en finale ses atours et ses atouts.
Mais pour en revenir à ces branleurs de chartes ad usum viri, on finit par se demander si leur virilité n’est pas définitivement alitée, au point que leur jouissance finale serait de passer, au moins en partie, à la fameuse « guillotine à saucisson »… si vous voyez ce que je veux dire, et que je ne veux pas écrire. En tout cas, une chose est sûre et sure, c’est que la chasse à l’homme trop blanc leur a détraqué le lobe frontal. Bref, qu’ils tapent à fond dans le woke-business.
Et voilà qu’ils la mettent en veilleuse, parce qu’un brave petit gars, un certain Taha O. – ça fait presque « taïaut » – est soupçonné, présumé innocent, etc. d’avoir chassé à courre dans le bois de Boulogne et d’y avoir tué une petite biche blanche. Question masculinité il y aurait à écrire des livres, non ? Et surtout question ignominies… j’insiste sur le pluriel !
Car les ignominies deviennent la spécialité française par excellence. Ignominie de ces tueurs qui « ne connaissent pas les codes », les nôtres du moins, car chez eux, ils n’y auraient probablement pas survécu. Ignominie des journalises de sales chemins qui y vont de leurs tentatives désespérées de cacher çà et là un pan de vérité. Le fameux Taha O. aurait bien « purgé sa peine », l’autre, celle qu’il avait récoltée pour avoir déjà violé une femme près de Taverny il y a sept ans. Purgé sa peine, donc, en règle avec la société, blanc comme neige, citoyen lambda sinon lambada, etc.
Ignominie de ces trafiquants de chair humaine qui les amènent par cargaisons, quand ils ne les envoient pas aux requins, une fois les portefeuilles récoltés. Ignominie de ces passeurs qui participent d’une invasion prédite par Jean Raspail dans Le Camp des saints., paru en 1973. Plus de cinquante ans et la France n’a toujours rien compris. Mais on fera une marche blanche ! Ignominie de ces juges qui trichent au Monopoly de la justice. Blanc et trop « à droite » : allez à la case prison, restez-y trois tours, ne touchez pas votre salaire, et subissez le harcèlement social. Migrant, mineur isolé : erreur de la caisse des épargnant français en votre faveur, recevez 1000 euros et nos salutations distinguées. Ignominie de ces hordes de fonctionnaires irresponsables qui se repassent les bébés-dossiers. Ignominie de cette présidence qui ne souhaite que la digestion de ce qui reste de France dans le ventre fécond de la bête européenne. Bref, ignominies sur ignominies, tandis qu’une bête sauvage a privé une pauvre jeune fille de son destin qu’elle devait imaginer lumineux.
Et si c’était la dernière… mais non ! La lâcheté qui s’achète une pseudo-conscience à coups de menton, de grandes phrases et de nouvelles lois en préparation, et qui est incapable de faire appliquer celles qui encombrent déjà la prétendue justice, la lâcheté devenue professionnelle ne fera rien de plus qu’elle n’ait déjà fait. Car, un pays qui s’effondre, comme une maison trop vieille mérite les décombres. Sauf qu’il n’y a plus personne pour reconstruire, et que l’Occident en entier poursuit sa désintégration civilisationnelle, le piètre pitre Macron n’étant qu’un épiphénomène.
Pauvre et malheureuse Philippine, et pauvre famille !
Pauvre France et pauvres Français qui n’ont rien voulu comprendre, rien voulu faire contre leurs démolisseurs, et qui continuent, en grattant leurs jeux abrutissants, à enrichir l’État qui les pille et les mène à l’abattoir.
Antoine Solmer