Sous le titre « Débat Trump – Harris : un président face à l’imposture, Guy Millière nous offre un excellent tableau de la confrontation entre le président espéré Trump et celle au prénom prédestiné et adapté à ses profondeurs nuisibles : Kamarad Alla (je n’ai pas mis de H final, mais rien n’empêche de le faire)[1]. Lisez cet article sur Dreuz Info car il est excellent. Comme la reproduction en est interdite, j’en tirerai simplement deux ou trois commentaires.
« Parce qu’il (Trump) n’a pas été assez précis sur certains points, je ne peux pas dire qu’il l’a emporté, mais il n’était pas dans des conditions où il pouvait l’emporter. Il a, je pense, marqué des points, mais pas assez pour que ce soit décisif. »
J’ai moi aussi écouté ce débat du début à la fin. C’est pratiquement mon opinion, mais je crois que, c’était mission impossible. En effet, la Kamarad Alla s’est montrée et s’est déclinée en ce qu’elle est : une super Hidalgo dans ses meilleurs pires jours. Elle a commencé par jouer de ses malheurs de la pauvre petite Cosette et des grands espoirs de sa gaucherie portée à l’extrême. Trump a bien fait de préciser d’emblée que le père de la vice-présidente était un économiste de type marxiste.
Ensuite, ce n’a été qu’une succession de mensonges, de récitations de tirades gauchistes, ne s’interrompant seulement que pour accuser Trump de déclarations qu’il n’avait jamais faites (en particulier sur l’avortement), utilisant tous les caviardages et toutes les calomnies possibles. Le tout était ponctué de ses crispations qui se voulaient sourires, ne réussissant qu’à peaufiner sa face de crocodile, quand ce n’étaient pas des mines de crotale visant son adversaire. Un festival de laideur physique qui doublait ses laideurs morales et ses déblatérations de chamelle vicieuse : la gauche classique, toujours extrême, toujours vicieuse. Si personne n’est responsable de son visage tel qu’il lui a été donné, on le devient par ses pensées perfides et ses actions condamnables.
Bref, le débat était piégé d’avance. Que faire contre un serpent venimeux à qui les journalistes ouvrent toutes les portes lorsqu’on n’a ni le droit ni le temps de l’abattre. Dans ces conditions Trump était empêtré dans des filets de bave gluante dont il fallait bien qu’il se débarrasse, perdant du temps qui lui aurait été plus utile pour développer son programme. Et pourtant il a asséné de terribles coups portant sur le réel de la catastrophique a-gestion du couple Bide – Kamarad Alla. En particulier, lorsqu’il lui déclare, tout en insistant sur l’absence du président actuel : il vous suffit de signer un décret pour fermer les frontières. Pourquoi ne le faites-vous pas ? Soufflée la Kamarad !
Une autre différence fondamentale entre les deux. Alors que Trump insistait sur la nécessité d’une cessation des hostilités entre l’Ukraine et la Russie, la Kamarade se découvrant Kamarde a laissé échapper une phrase d’apparence anodine mais claire sur vues cachées : vouloir que l’Amérique retrouve son rôle de grande régulatrice. Traduisez cela en « gendarme du monde » et ajoutez la pincée de Stalinisme qui conviendrait si par malheur…
Nous connaissons bien en France ce genre de débat piégé. Donc, je m’en tiendrai là. L’essentiel est ailleurs. Lors des conclusions finales, je pense que Trump a été brillant. La Kamarad Alla s’est réfugiée dans son rôle de gentille petite femme de Gauche penchée vers ses ouailles pour un avenir radieux, en accusant le passéisme de Trump. (on connaît leur chanson). Trump, lui, a insisté sur les nécessités fondamentales de relancer l’Amérique, son économie et ses structures sociales.
Qui a gagné ce débat ? Certainement pas la saine raison qui devrait prévaloir lorsqu’on expose des idées opposées. Ce que je sais, pour vivre aux USA une grande partie de l’année depuis longtemps, et pour en avoir vu les changements depuis 40 ans, c’est que je n’ai jamais reçu autant de confidences d’Américains extrêmement inquiets sur le devenir de leur pays.
Alors, à eux de voter à Droite, pour une vie équilibrée, satisfaite d’actions les mieux adaptées à des équilibres de survie. Mais si par malheur les délires structurels de la Gauche l’emportent, avec l’État profond en sous-marin, la troisième guerre mondiale nous attend.
Antoine Solmer
[1] https://www.dreuz.info/2024/09/debat-trump-harris-un-president-face-a-limposture-302788.html
Ce que vérifie ce débat, c’est que sous-estimer son adversaire conduit toujours à la défaite: sa mégalomanie assaisonnée d’une bonne dose de misogynie ont conduit Trump à commettre cette erreur fatale. Il en paiera sans doute le prix. Ses outrances ont ainsi offert à son adversaire le cadeau inespéré de faire oublier son inconsistance:: on n’en sait toujours davantage sur ce à quoi croit Kamala, versatile et putassière à souhait. Mais il paraît que cela paye en politique…
Absolument vrai et encore plus possible, car la Gauche est structurellement (génétiquement) une extrême machine à tricher, dans tous les domaines humains. Son dieu est l’entropie maximum. Une fois que l’on comprend cela, on a tout compris. Le reste n’est qu’enfumage.
A. S.
Il n’en reste pas moins que Trump aurait dû être capable d’éviter les pièges que lui a tendus son adversaire, mais son ego pathologique n’a pas su y résister et en effet, il s’est s’est laissé empêtrer là où il aurait dû être capable de passer à autre chose. Et surtout pas à ces ridicules histoires de migrants dévorant les chiens et les chats! Très astucieusement, Kamala a su tirer parti de son irrésistible tendance à en rajouter, et cela l’a perdu. Son refus de participer à un autre débat est un aveu de faiblesse. L’élection est pliée, il n’y aura même pas besoin de fraude!
Quoi qu’il arrive, tout sera fait pour écarter Trump de la présidence, la presse se déchaine déjà avec une nouvelle affaire de soi-disant ingérence russe, on va voir se multiplier ce genre de choses et, de toutes façons, au cas très peu probable où Trump parviendrait à remonter la pente, bourrage d’urnes de dernière minute et manipulation des machines à voter assureront la victoire de la candidate démocrate.